Guitry, Zikisso, Guiembe et Kong. Ce sont les régions qui accueillent les Centres de services de formation agricole, encore appelés ASTC (Agricultural service training center). Objectif, transformer les entreprises agricoles locales en succès fulgurants.
Le programme a été initié par Green 2000. Ces centres couvrent une superficie totale de 50 hectares et incarnent une approche novatrice. Ils comblent le fossé qui sépare les aspirations des petits agriculteurs, de leur réalité quotidienne.
Face aux multiples défis qui se dressent sur leur chemin, les agriculteurs trouvent une nouvelle autonomie grâce à l’accès à des machines modernes et à des connaissances transformatrices. L’effet d’entraînement provoqué par les ASTC se répercute profondément dans la création d’opportunités, stimulant ainsi la croissance au cœur des communautés. Les agriculteurs se transforment ainsi en véritables moteurs économiques, alimentant l’employabilité dans leurs régions respectives.
« En tant que chef de projet, je suis profondément convaincu que les ASTC dans le secteur agricole ivoirien ouvriront la voie à des avancées révolutionnaires. Notre présence dans quatre régions différentes souligne notre engagement à favoriser l’expansion et le triomphe des entreprises agricoles du pays. C’est une source d’inspiration de voir les agriculteurs locaux s’approprier notre expertise, stimuler les opportunités d’emploi au sein de leurs communautés et encourager les jeunes générations à envisager l’agriculture comme une carrière prometteuse », commente Pieter Durandt, directeur national de Green 2000.
Nichés au cœur de terres fertiles, entourés de ressources abondantes et bercés par un climat propice, ces centres renferment un potentiel non seulement pour la croissance agricole, mais aussi pour l’essence même de la croissance.
La vision du projet s’étend à la promotion de la croissance locale à long terme, à l’amélioration de la sécurité alimentaire et au renforcement de l’indépendance. Pour rappel, l’agriculture demeure l’épine dorsale de l’économie ivoirienne, contribuant à hauteur de 21,2 % au PIB et à 47 % des exportations totales du pays.
