Le  19 septembre 2002,  le président de l’Union pour la Démocratie et la Paix est assassiné. 19 ans après, malgré la douleur, le parti de Mabri Toikeusse appelle à la remobilisation pour la conquête du pouvoir.

« 19 septembre 2002…19 septembre 2021, cela fait exactement 19 ans que le ciel s’est assombri sur notre parti avec l’assassinat du Président fondateur Robert Guei ».

Ce dimanche 19 septembre 2021, le ciel s’était encore assombri pour les militants de l’UDPCI. Au siège du parti à Cocody Angré, ils ont effectué massivement le déplacement, malgré la pluie, pour prendre part à une cérémonie de recueillement.

13h, dimanche 19 septembre 2021. 13 minutes de silence, de recueillement et de prière pour le repos de l’âme du général Robert Gueï, Président fondateur de l’UDPCI. Une cérémonie présidée par Dan Ouelo Miche, premier vice-président du parti.

Jour de recueillement certes, mais l’UDPCI en profité pour galvaniser ses troupes pour la magistrature suprême. C’est tout le sens du message lancé par le premier vice-président qui représentait à cette occasion Mabri Toikeusse, actuel président du parti.

« Ce 19 septembre 2021, est un jour de recueillement, mais aussi un jour de souvenir, de réarmement moral pour tous les militants afin qu’en souvenir de tous les illustres disparus, notre combat politique au sein de l’UDPCI puisse continuer pour atteindre nos objectifs de conquête du pouvoir d’État par les urnes (…) », a-t-il lancé.

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Pour Dan Ouelo Michel, après tout ce que L’UDPCI a traversé, l’heure est à l’engagement et à la mobilisation pour une UDPCI forte et conquérante. Un combat politique qui doit se faire dans la paix selon lui. Car à en croire le premier vice-président, les douleurs n’ont pas empêché l’UDPCI de continuer d’être un parti de paix.

En prélude à la présidentielle de 2025, l’UDPCI convoque un comité central  le samedi 25 septembre prochain. Il sera présidé par le président du parti Mabri Toikeusse.