Moi, (Edith Pulcherie Gbalet), personne ne me fera taire, je suis dans mon rôle d’acteur de la société civile protégée par la loi”!

La militante de droit de l’homme n’a pas eu la langue de bois, face à la presse ce vendredi, deux semaines après sa libération de prison.

“En ma qualité de responsable de la société civile,  rien ni personne ne m’empêchera de revendiquer le meilleur pour le peuple. J’annonce donc solennellement que je suis de retour, pour poursuivre le combat. Les mardis de Pulchérie Gbalet reprendront à partir du 28 février prochain avec la même verve”, a soutenu devant les journalistes la présidente de l’organisation Alternative citoyenne ivoirienne (Aci).

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Arrêtée le 22 août 2022 puis libérée six mois plus tard après un voyage au Mali où étaient détenus 49 soldats ivoiriens accusés d’être des « mercenaires », l’activiste ivoirienne annonce de “futurs combats”.

“La cherté de la vie est devenue intenable. Sachez que je ne trahirai jamais le peuple et je reprendrai la lutte là où je l’ai laissée”, a-t-elle averti.

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Personne ne pourra me faire taire, prévient la militante, notamment sur les questions liées à la cherté de la vie ;les injustices et les abus de pouvoir ou encore les violations constitutionnelles, la réconciliation nationale qui est restée un slogan, a laissé entendre Pulcherie Gbalet.   

Tristan SAHI