Dans un élan de générosité et de solidarité, la Fondation Djanatou Firdaws, de Coulibaly Fousseina épouse Tiacoh, a apporté un soutien aux veuves de Grand-Bassam en cette période de jeûne musulman.
La structure a fait un don de vivres, suivi d’une rupture collective du jeûne, offrant ainsi un réconfort à ces femmes vulnérables.
Un geste de bienveillance conforme aux préceptes islamiques
Consciente des difficultés que rencontrent de nombreuses veuves, cette fondation s’est engagée dans le partage et l’apport de soutien comme le recommande l’Islam.
En cette période de Ramadan, l’organisation a souhaité poser un acte de charité, illustrant l’esprit de fraternité qui caractérise cette organisation.
Pour les bénéficiaires, ce don arrive comme une bénédiction.
« C’est un don du ciel qui vient à point nommé », ont confié certaines veuves, reconnaissantes envers l’association pour cette aide qui les soulage.
Un engagement humanitaire et communautaire
La Fondation Djanatou Firdaws ne se limite pas à la distribution de vivres.
Elle s’investit dans des initiatives sociales et communautaires visant à améliorer les conditions de vie des femmes et des enfants en situation de précarité.
En agissant pour le bien-être des plus démunis, elle incarne un modèle de solidarité et de dévouement, inspiré des principes de l’Islam.
« Nous avons le devoir, en tant que croyants, d’apporter notre aide à ceux qui en ont besoin.
Chaque geste de solidarité compte, et nous continuerons à œuvrer pour le bien-être des veuves et des orphelins », a fait savoir Coulibaly Fousseina épouse Tiacoh, la présidente de l’association.
Par cet acte de bienfaisance, cette fondation réaffirme son engagement à faire du partage et de la solidarité une réalité concrète pour ceux qui en ont le plus besoin.
Eugène Tristan SAHI