À en croire la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Nassénéba Touré, « la vie des femmes a considérablement changé depuis ces 13 dernières années, grâce au Président Alassane Ouattara qui est à leur écoute ».
Nassénéba Touré était l’invité de de l’émission »RTI1 Reçoit » du mardi 17 septembre 2024.
Elle intervenait sur le thème « Situation de la femme, de la famille et de l’enfant en Côte d’Ivoire de 2011 à 2024 : Quelles avancées ? ».
À l’en croire, au moins « 7 800 000 femmes participent au développement de la Côte d’Ivoire, contrairement à 2011 où 4 500 000 femmes vivaient sous le seuil de pauvreté ».
Cette amélioration des conditions de vie des femmes est la résultante de nombreuses actions du Gouvernement, fait remarquer la ministre.
Il s’agit notamment de la mise à leur disposition de plusieurs fonds, dont le Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI).
Elle a également fait cas du taux de femmes nommées à la tête des institutions de la République, ainsi que celui des femmes élues qui est en nette croissance.
Les femmes en couche et les enfants de 0 à 5 ans bénéficient de la gratuité ciblée dans les centres de santé publics, a ajouté la ministre.
Nassénéba Touré a ausssi fait remarquer que les femmes sont également protégées contre les Violences basées sur le genre (VBG) et les mutilations génitales féminines.
En déplacement le 11 septembre 2024 à Bongouanou, à l’occasion de la 7ème étape des Assises nationales des femmes de Côte d’Ivoire pour le compte du District autonome de la Comoé, la ministre a salué le courage et la détermination des femmes présentes qui malgré les intempéries ont réussi le défi de la mobilisation.
Elle a encouragé les femmes à s’impliquer pleinement dans le renforcement de la résilience face aux défis actuels.
« Votre présence massive ici malgré cette forte pluie, prouve que vous êtes des femmes déterminées, et engagées pour la cause des femmes », avait-elle dit.
La ministre de la Femme avait aussi engagé ses sœurs à œuvrer davantage à l’amélioration des services de protection des droits des femmes en Côte d’Ivoire.
Tristan Sahi
