L’athlète ivoirienne Irié Lou Fabiola a décroché la médaille d’argent lors de la 1ère journée du Championnat d’Afrique de lutte olympique U17, U20 et Seniors qui se tient au Maroc. La compétition a démarré le 17 mai 2022, et elle engage les sélections nationales masculine et féminine dans les spécialités, lutte libre, lutte féminine et lutte gréco-romaine.
Le Championnat d’Afrique de lutte débute sur une bonne note pour la sélection ivoirienne. En compétition dans la catégorie ‘’cadets des moins de 73 kg’’, Irié Lou Akissi Marie Fabiola qui termine à la deuxième place décroche la médaille d’argent. Elle a battu la représentante de l’Algérie par tombée. Au total, ce sont 11 athlètes ivoiriens, dont 5 hommes et 6 dames qui prennent part à cette rencontre continentale à El Jadida au Maroc, qui s’achève le 22 mai prochain.
Poda Romaric, le responsable de la communication de la Fédération ivoirienne de lutte (FIL) joint par 7info, estime que la sélection nationale a de fortes chances de revenir avec plusieurs médailles. « Nous avons bon espoir pour les athlètes ivoiriens, surtout que pour le moment ce sont seulement les dames qui sont entrées en compétition. Avec les hommes en plus on espère qu’ils vont nous permettre de glaner davantage de lauriers. Aujourd’hui (NDLR 19 mai 2022), il y a 3 athlètes qui entrent en compétition, dont Irié Fabiola, Pitta Dohon Diane (-53 kg) et Yao Akoua Sidonie (-57kg) », révèle Poda Romaric.
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Créée le 1er juin 1961, la FIL est une association sportive qui fait la promotion de la lutte qui est une discipline olympique. Deux ans plus tard, elle a été affiliée à la Fédération internationale de lutte et associés (FILA) et à la Confédération africaine de lutte et associés (CALA). « Elle a plusieurs volets, dont la lutte traditionnelle qui se fait sur du sable sans contact et est différente de la lutte sénégalaise au cours de laquelle des coups sont portés à son adversaire, la lutte olympique et gréco-romaine qui se pratique sur un tapis et la beach wrestling qui se fait sur le sable au bord de l’eau. Toutes ces variantes de la lutte ont la même base, ce sont juste les prises qui permettent de les différencier », explique le responsable de la communication de la Fédération ivoirienne de lutte, pour le compte de 7info.
