C’est une véritable expertise que la Polyclinique Internationale Sainte Anne-Marie (PISAM), apporte à une quarantaine de médecins, dans le domaine de la traumatologie-orthopédie et chirurgie réparatrice. Le Dr Stéphane Romano, chirurgien expérimenté intervenant à l’hôpital Américain de Paris, renforce leurs capacités dans le cadre d’un partenariat avec l’institution médicale.

Après les dix années qui permettent d’obtenir le diplôme de médecin pour exercer, il faudra en passer encore cinq, pour l’obtention d’un diplôme de spécialisation en chirurgie. Dans le cadre de leur formation, 40 étudiants médecins bénéficient depuis deux jours d’une expertise internationale. Le Dr Stéphane Romano, chirurgien spécialisé dans la réparation des membres supérieurs apporte son savoir-faire aux apprenants. Il en profite pour faire des consultations et surtout des interventions retransmises en direct dans la salle de vidéo conférence de la PISAM. Objectif, enseigner, expliquer et pratiquer pour une meilleure maîtrise de la spécialité. Les étudiants avaient la possibilité de discuter avec leur maître en pleine intervention afin de s’approprier les nouvelles techniques de traumatologie orthopédie et chirurgie réparatrice.

Ce jeudi 8 février, 4 patients qui avaient des séquelles de traumatologie de la main, ont été consultés et 3 d’entre eux ont subi une intervention chirurgicale, gracieusement offerte par le Dr Romano et la PISAM. D’autres consultations et interventions auront encore lieu ce vendredi. La Polyclinique Internationale Sainte Anne-Marie se dote d’appareils de dernière génération permettant d’intervenir sur toutes sortes de traumatisme.

L’arrivée du maître chirurgien, Dr Stéphane Romano, rentre certes dans le cadre d’un partenariat avec l’Hôpital Américain de Paris, mais aussi dans la dynamique de la mise en place de PISAM 2.0 ou encore PISAM digitale. Ce projet qui verra le jour courant 2019, permettra à l’hôpital de se positionner comme l’un des premiers dans le domaine de la technologie médicale. Plateaux thermiques, blocs opératoires selon les standards internationaux, imageries, laboratoires autonomes et équipements de dernière génération, sont entre autres les atouts de ce nouvel hôpital, à la pointe de la technologie.

Il s’agira pour la PISAM d’améliorer la qualité de ses services à travers une meilleure prise en charge de ses patients, peu importe le mal dont ils souffrent.

Éric Coulibaly

Poleafrique.info