The Lancet, la revue spécialisée en étude médicale a publié un erratum ce samedi 30 mai pour reconnaître son erreur sur les différentes analyses faites sur l’inefficacité voire les effets néfastes de l’hydroxychloroquine ces dernières semaines.

« Dans cet article, dans le premier paragraphe de la section Résultats, le nombre de participants d’Asie et d’Australie aurait dû être respectivement de 8101 (8,4%) et 63 (0,1%). Un hôpital auto-désigné comme appartenant à la désignation continentale de l’Australie aurait dû être attribué à la désignation continentale asiatique. L’annexe a également été corrigée« , indique la note sur le site de la revue médicale.

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Le vendredi 22 mai 2020, sur le site de The Lancet, il a été prouvé dans une étude l’inefficacité de l’hydroxychloroquine. Ce qui a encouragé l’Organisation mondiale de la santé à suspendre quelques jours après le traitement de la molécule dans les essais cliniques.

Pr Didier Raoult, défenseur acharné de l’usage de cette molécule, dès l’apparition des premiers signes, avait jugé l’étude de « foireuse ».

« Aucun changement n’a été apporté aux conclusions du document. Ces corrections ont été apportées à la version en ligne en date du 29 mai 2020 et le seront à la version imprimée« , précise The Lancet dans son erratum.

Sandra Kohet

7info.ci