Jean Michel Amankou, le député d’Agnibilékrou sous-préfecture, dans l’est ivoirien et membre du bureau politique du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, opposition), a assuré jeudi que sa formation politique ne courait aucun « risque d’imposition », un mois après le décès de son leader Henri Konan Bédié.
« Il n’y a pas de risque d’implosion parce que le PDCI est un parti qui a une très forte résilience politique. C’est un parti qui est dans la sérénité et qui se fait confiance », a expliqué Amankou, interrogé par 7info.
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« A ce niveau, soyez tranquilles. Le PDCI vit et il a ses forces », a-t-il ajouté.
Contre l’avis de son parti, Jean Michel Amankou, avait fait acte de candidature pour la présidence de l’Assemblée nationale, face au candidat du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), Adama Bictogo, que le PDCI avait choisi de soutenir.
Serge Alain Koffi