Sécurité

Yopougon Gesco et quartier Maroc, fin de parcours pour 2 présumés criminels 

Mis à jour le 2 avril 2024
Publié le 02/04/2024 à 2:30 , , , ,

Fin de parcours pour T B I R, alias “petit Gouro”, et D A, alias “Demsi”. Depuis les 26 et 27 mars 2024, la police a interpellé ces deux présumés criminels qui opéraient à Yopougon.

 

Les quartiers Gesco et Maroc sont les lieux où ces deux présumés criminels sévissaient.

Leur interpellation est à mettre à l’actif du BRI Nord, une unité spéciale de la police mise en place pour lutter contre le grand banditisme.

Il pesait sur ces deux individus plusieurs soupçons. À en croire la note de la plateforme police secours, ces individus étaient accusés de tentatives de meurtre, agressions et coups et blessures volontaires dans les quartiers dans ces deux quartiers de Yopougon.

Leur interpellation fait suite à de nombreuses plaintes déposées contre eux à la Direction de la police criminelle et au 38e arrondissement.

C’est d’ailleurs sur cette base que des éléments de la BRI NORD ont identifié “petit Gouro” et sa bande comme les principaux suspects.

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L’information fait savoir que “petit Gouro” a été appréhendé le 26 mars 2024 à Gesco après des investigations. La note de police secours mentionne que le mis en cause a reconnu appartenir à un groupe de gérants de fumoir, mais également être impliqué dans des activités criminelles avec sa bande, comprenant notamment “Demsi” et d’autres.

« Grâce à l’acharnement des forces de l’ordre, “Demsi” a été arrêté le lendemain à Yopougon Maroc. Lors de son interrogatoire, il a admis sans difficulté aucune, travailler avec “petit Gouro” dans un fumoir et a conduit les policiers jusqu’à une arme à feu enterrée dans ledit fumoir », ajoute l’information.

Outre la vente de drogue, ces individus sont aussi accusés de semer la terreur à Gesco et à Micao. Ils seraient auteurs d’agression des habitants et de pillages des commerces locaux.

Les recherches se poursuivent pour appréhender d’autres présumés complices encore dans la nature.

Les individus interpellés eux, iront répondre de leurs actes devant la justice.

Richard Yasseu

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